… d’après L’Empereur du Portugal, le roman de Selma Laguerlöf
En Bretagne, ceux qu’on appelle les Gens des merveilles, ce sont les conteurs. Ils racontent des histoires incroyables. On y croit pourtant. Même après, lorsque les mots flottent encore entre les rêves et la peau. Il arrive aussi qu’on invente tout seul des merveilles. Quand on habite le Val des regrets, on ne se contente pas des choses d’ici-bas, on est forcé d’aller chercher des étoiles. Parfois, c’est la seule façon de ne pas mourir.
Entre amour et folie, entre une fille et son père, entre le ciel et la terre, le récit de Jan des Merveilles est là pour nous faire battre le coeur car comme le dit Jan : quand on ne sent pas son coeur battre, ni dans la tristesse, ni dans la joie, peut-être qu’on n’est pas tout à fait vivant …
Extraits de presse :
Un talent qui, au-delà du métier, a laissé passer le plaisir de raconter de Gigi Bigot : celui de dire, celui des mots, des phrases, celui de passer d’un sentiment à l’autre par le verbe, de l’émotion la plus pure au rire. Tout ce qui fait la force d’un conte.
Presse-Océan
Pendant près d’une heure, les mots ont virevolté, nous ont émerveillés et ont laissé une mélodie douce et profonde qui nous a accompagnés au-delà du spectacle.
Journal de l’Alliance française
Jan des Merveilles, c’est une très belle histoire d’amour qui, pour ne pas basculer dans le désespoir, emprunte les chemins du merveilleux. Pari réussi pour Gigi Bigot qui donne dans cette rêverie chargée d’émotion une nouvelle force à sa volonté d’exprimer des sentiments essentiels : entre le rire et les larmes, entre la vie et la mort.
E. Crusson, metteuse en scène
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